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13.01.07 - Le Devoir : «... un roman qui nous diffuse, le volume réglé au maximum, une passion contagieuse et authentique pour la musique» [Christian Desmeules]



18.01.07 – ICI : «Ce livre se lit effectivement comme on écoute un album des Clash, il s’entend comme on passe une soirée à se faire vibrer les tympans que ce soit aux Foufs, au CBGB dans le temps que c’était la référence, ou encore chez soi, bien effoiré et un peu stone. Ce livre se lit comme on plongeait en tremblant nos pièces dans le juke-box du Café Noir à Paris dans les années 80, ou dans celui du Mona’s à New York et celui du Nice’n’Sleazy à Glasgow au début des années 90. Avec excitation et envoûtement.» [Michel Vézina]



11.02.07 – Vous m’en lirez tant (Radio-Canada FM) : «C’est le récit d’un maniaque de musique comme je n’en ai jamais rencontré avant... ... C’est rare qu’on peut comprendre exactement ce que la musique fait à quelqu’un et là, durant 200 pages, ce n’est que cette impression que la musique passe avant tout, qu’elle transforme votre corps, vos émotions, vos pensées, habite vos journées, vos nuits et tous les éléments de votre vie.» [Raymond Cloutier]



18.02.07 – Bang Bang : «... On y fait allusion à Kraftwerk, à la naissance du punk et du rap, des choses près de nous, avec un style franc, capable d’envolée quasi extatiques...» [Patrice Caron]



25.02.07 - Le Soleil : «Plus que confidence d’un mélomane, Accro vinyle est aussi une chronique de la génération X, celle d’après le référendum et d’avant la chute du mur de Berlin» [Valérie Gaudreau]



15.03.07 – Première heure (Radio-Canada FM) : «C’est l’autobiographie d’un drogué de musique, un gars qui était prêt à tout pour trouver un disque rare, un nouveau morceau, une nouvelle sensation... ...J’ai senti beaucoup d’honnêteté et de sensibilité. J’ai vraiment eu l’impression que ce gars-là se déculottait littéralement... ...Y’a toute une génération de 35-45 ans qui va se reconnaître dans ce livre, mais aussi tous les maniaques de musique, tous ceux qui ne vivent que pour la musique...» [Catherine Lachaussée]




Été 2007 – Lettres Québécoises : «L’auteur connaît très bien son sujet. Un très grand nombre de chanteurs et de groupes sont mentionnés dans le roman et leur musique est largement commentée. Ces commentaires ne sont ni froids ni intellectuels; ils témoignent d’un amour profond de la musique qui n’est pas qu’un accompagnement mais une donnée essentielle de la vie. Les passages où il décrit, avec des images fortes, l’effet de la musique sur lui sont saisissants» [Josée Bonneville]

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